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PRÉSIDENTIELLE
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02/05/02 |
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»Chirac: non à une VIe République |
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Dans une interview au "Télégramme de Brest", Jacques Chirac dit ne pas vouloir "changer de République" |
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"La question aujourd'hui n'est plus celle des pouvoirs publics constitutionnels", estime le candidat. Pour autant, il entend "donner plus souvent la parole aux Français".
Sur TF1, il a exprimé sa "grande satisfaction" après les défilés anti-FN du 1er mai. Dans "Ouest-France", il appelle les électeurs de gauche à "faire barrage à l'extrême droite".
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»Après les manifs anti-FN du 1er mai |
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En marge du meeting jeudi à Villepinte, Jacques Chirac s'est exprimé, en cette fin de campagne, dans plusieurs médias |
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Evoquant, sur TF1, la mobilisation du 1er mai, le président s'est félicité: "Toutes ces manifestations montrent que les Français n'auront jamais été aussi conscients de ce qui les unit." Il a notamment salué la façon dont les jeunes "ont manifesté avec spontanéité, enthousiasme, détermination mais aussi dignité".
Le président-candidat refuse d'attribuer ce succès à la gauche: "Ces manifestants n'étaient pas d'ici ou de là, ils représentaient l'ensemble de la France. N'essayez pas de donner des interprétations politiciennes ou partisanes de ce qui a été un grand mouvement, tout à l'honneur de la France." |
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»Appel aux électeurs de gauche |
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Dans une interview à "Ouest France" vendredi, le chef de l'Etat demande aux électeurs de gauche de "faire barrage à l'extrême droite" qui est "aujourd'hui le danger".
"A un électeur de gauche, je lui dis que je le respecte et que je le comprends mais qu'aujourd'hui, il s'agit de défendre le socle commun de nos valeurs républicaines. Et je lui demande d'aller jusqu'au bout de ses convictions en faisant barrage à l'extrême droite". |
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»Attaque contre Jospin |
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Toujours dans "Ouest-France", interrogé sur la montée du Front national, Jacques Chirac s'en est pris directement au gouvernement de Lionel Jospin: il estime que les Français "n'ont pas été entendus et encore moins écoutés". "Nous payons une trop longue période d'inaction, en ce qui concerne l'insécurité et la violence, les excès de la bureaucratie et de la fiscalité, la déconsidération de la valeur du travail, l'insuffisante pédagogie en matière de mondialisation", estime le candidat du RPR.
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